dimanche 24 octobre 2010
2h, dans la cuisine il fait froid, la nuit s’étend devant moi et je ne dormirai pas assez. Cet après-midi je me suis endormie sur le canapé du local du BDA, je me suis calée entre les coussins, les manteaux, près de fx et de Cécilia qui surveillait, je me suis endormie comme une gamine épuisée. Je vais à l’école pour dormir. Je vais à mes cours et tout se passe à merveille, le projet défendu ce midi plutôt réussi, cette multitude d’engagements sur la Journée Dédicaces, Artmaniak, NonFiction, les textes à écrire, les personnes à rencontrer. Peut-être que ce sont des choses qui me gardent accrochée, des choses qu’on fait sans se poser de questions, mais il va bien falloir retrouver aussi les sensations, le corps engagé, le corps sollicité, les yeux ouverts sur les couleurs, les peintures, la ville – les livres, les films – le corps suffisamment solide pour accompagner ma jument. Seule, je dois me reconstituer. Reprendre possession de chaque parcelle. Toucher, voir, sentir. Il faut que mon corps reprenne son existence, qu’il se sente battre. Il faut ça avant de penser à m’ouvrir aux autres, avant de penser à quelqu’un d’autre. L’oubli de son corps à lui, et la reconstruction du mien. Lui et moi nous n’avons plus rien à nous dire. Plus rien à faire ensemble. Quelque chose peut-être à reconstruire, de zero, dans quelques mois. Je ne regrette même plus cette rencontre ratée, cette histoire saccagée, je ne regrette plus rien – quelqu’un qui est capable de m’abandonner, de refuser de m’accompagner, de fermer les yeux devant ses responasbilités, quelqu’un qui préfère me dire bien en face : « je ne te répondrai pas et je serai un salaud » – alors c’est quelqu’un qui n’a pas le courage que je réclame. Il n’y a pas de solution miracle pour que j’aille mieux, il n’y a pas à attendre que par simple décision je puisse me sentir mieux demain. Tout ce que je ne réussis pas, tous ces échecs, tous ces dérapages, c’est une douleur pour moi autant qu’une colère pour lui. Douleur et colère qui aveuglent. Je ne voulais pas perdre de vue les très belles choses à vivre encore, ensemble. Je ne voulais pas oublier la très grande beauté de l’amour fou partagé cet été. Ce soir j’ai effacé tous les espoirs, ce soir je l’oublie, ce soir il a dit que je lui faisais peur, que j’étais folle, ce soir il m’a totalement abandonnée. « Débrouille toi ma belle dans ta tristesse engluante, débrouille toi dans tes pleurs ininterrompus, débrouille toi parce que moi je ne veux plus reparler de ce qui fait mal, de l’abandon dans lequel je t’ai plongé ». J’aurais aimé avoir en face de moi un garçon qui assume.
lundi 9 août 2010
mardi 3 août 2010
jeudi 29 juillet 2010
C'est SUPER intéressant. Ça vient de là. Je copie colle pour le retrouver.
1- Garder traces :
Les relations virtuelles c'est bien mais il faut se constituer un réseau réel. Se constituer un réseau, c'est enregistrer tous les gens que tu rencontres. Utilisez donc tous les outils numériques pour cela (Facebook, LinkedIn, Viadeo ...).
2- Prévoir l'avenir :
Construire son réseau ça se prépare, petit scarabée. Ce n'est pas le jour où vous en aurez besoin qu'il faudra commencer ;-)
3 Accusez réception :
Chaque fois que vous rencontrez quelqu'un faites un AR (ravi de vous avoir rencontré ...). Une bonne façon de nourrir le point 1
4- Devenez un habitué :
Un truc qui vous pose. Choisir un endroit pour déjeuner qui devient votre restaurant, faites en sorte de connaitre le patron ou l'équipe de service car comme cela vous serez connu et reconnu. Vous pourrez ainsi donner rendez-vous dans ce lieu au membres de votre réseau.
5- Capitalisez sur les liens faibles :
Croyez-le ou non, quand vous aurez besoin de quelques chose, cela viendra par les liens faibles et pas par les liens forts. Paradoxalement ce sont les liens faibles qui peuvent vous apporter plus que les personnes que vous voyez tous les jours. Donc ouvrez vous aussi au parents des copains de vis enfants.
6- Networker partout, tout le temps et à toute heure :
Utilisez toutes les manifestations, conférences ou réunions pour compléter votre carnet d'adresses.
7- Entretenez et nettoyer votre carnet d'adresses :
Nettoyez votre carnet d'adresse pour faire une purge. Cela a deux avantages : vous obliger à remettre en mémoire quelques liens faibles et surtout remettre à jour le moyen de les contacter.
Un conseil en guise de bonus ? ne mangez jamais seul. Vous rateriez une occasion de contact.
1- Garder traces :
Les relations virtuelles c'est bien mais il faut se constituer un réseau réel. Se constituer un réseau, c'est enregistrer tous les gens que tu rencontres. Utilisez donc tous les outils numériques pour cela (Facebook, LinkedIn, Viadeo ...).
2- Prévoir l'avenir :
Construire son réseau ça se prépare, petit scarabée. Ce n'est pas le jour où vous en aurez besoin qu'il faudra commencer ;-)
3 Accusez réception :
Chaque fois que vous rencontrez quelqu'un faites un AR (ravi de vous avoir rencontré ...). Une bonne façon de nourrir le point 1
4- Devenez un habitué :
Un truc qui vous pose. Choisir un endroit pour déjeuner qui devient votre restaurant, faites en sorte de connaitre le patron ou l'équipe de service car comme cela vous serez connu et reconnu. Vous pourrez ainsi donner rendez-vous dans ce lieu au membres de votre réseau.
5- Capitalisez sur les liens faibles :
Croyez-le ou non, quand vous aurez besoin de quelques chose, cela viendra par les liens faibles et pas par les liens forts. Paradoxalement ce sont les liens faibles qui peuvent vous apporter plus que les personnes que vous voyez tous les jours. Donc ouvrez vous aussi au parents des copains de vis enfants.
6- Networker partout, tout le temps et à toute heure :
Utilisez toutes les manifestations, conférences ou réunions pour compléter votre carnet d'adresses.
7- Entretenez et nettoyer votre carnet d'adresses :
Nettoyez votre carnet d'adresse pour faire une purge. Cela a deux avantages : vous obliger à remettre en mémoire quelques liens faibles et surtout remettre à jour le moyen de les contacter.
Un conseil en guise de bonus ? ne mangez jamais seul. Vous rateriez une occasion de contact.
mercredi 25 novembre 2009
mardi 17 novembre 2009
Chanel, une des plus prestigieuses marques de haute couture française, a réfuté vendredi devant la justice les accusations de "contrefaçon" d'un petit sous-traitant, World Tricot, une affaire rarissime dans le milieu feutré de la mode.
Le jugement sera rendu le 11 décembre, une décision très attendue dans le monde feutré de la haute-couture.
Après quatre ans de procédure et de médiations restées vaines, le procès a duré quatre heures durant lesquelles les avocats des deux parties se sont affrontés face à cinq magistrats, volumineux dossiers à l'appui.
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